fredag 24. mai 2024

Il y eut de justes députés

 

Merci de votre réponse, Monsieur le Député. Des hommes comme vous sont ce qui reste d'honorable dans la classe politique francaise.

 

Que votre conscience et votre probité soient récompensées car c'est dans des hommes tels que vous que le gros du peuple de France - et de Bretagne - se reconnaît.

 

Veuillez agréer, Monsieur le Député, mes salutations admiratives.

 

Olivier Caisou-Rousseau

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23. jul. 2021 kl. 16:03 skrev Paul Molac <Paul.Molac@assemblee-nationale.fr>:




 


De : Gozmail <ojycarbreizh@gozmail.bzh>
Envoyé : mercredi 21 juillet 2021 17:47:06
À : Erwan Balanant; Paul Molac
Objet : Fwd: Quelle est votre position sur cette dictature qui s'installe?

 

 



 

Emne: Quelle est votre position sur cette dictature qui s'installe?



Monsieur le député,

 

les vaccins sont des produits.

 

Ceux qui sont utilisés actuellement en relation avec le COVID sont commercialisés en France dans le cadre de la libre circulation des marchandises au sein de l'Union européenne et de la libre pratique dont jouissent les produits qui y ont été légalement importés. Leur utilisation et leur commercialisation présupposent leur autorisation par l'Agence européenne des médicaments, laquelle collecte dans sa base de données Eudravigilance toutes les informations relatives aux effets constatés.

 

En tant que produits, ils relèvent aussi entre autre du champ d'application de la directive 85/374/CEE du Conseil, du 25 juillet 1985, relative au rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres en matière de responsabilité du fait des produits défectueux.

 

Ceci est confirmé notamment par l'arrêt rendu le 21 juin 2017 par la Cour de justice de l'Union européenne dans l'affaire préjudicielle C-621/15, N.W, L.W., C.W. contre Sanofi Pasteur MSD SNC, Caisse primaire d'assurance maladie des Hauts de Seine et Carpimko, suite à une demande de décision préjudicielle émanant de la Cour de cassation de la République française.

 

https://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf?text=&docid=192054&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=4094111

 

C'est donc à plusieurs titres que les conditions de commercialisation et d'utilisation de produits vaccinaux interfèrent avec le droit de l'Union européenne.

 

J'attire à cet égard votre attention sur le fait qu'Eudravigilance répertorie à ce jour plus de 17.000 décès survenus dans l'Union européenne à la suite de l'injection de l'un des 4 vaccins COVID autorisés dans l'Union européenne.

 

Or, l'article 2 de la Charte des Droits fondamentaux de l'Union européenne, tout comme l'Article 2 de la Convention européenne des Droits de l'Homme ratifiée par la France, garantissent à toute personne le droit à la vie.

 

Ne percevez-vous pas que contraindre des citoyens français sous peine de licenciement à une vaccination qui comporte pour eux un risque de mort contrevient à leur droit fondamental à la vie ?

 

Eudravigilance relève plus de 300.000 effets secondaires graves, tels que perte de la vision d'un œil, surdité, atteinte du muscle cardiaque, maladie de Guillain-Barré entraînant la paralysie de vaccinés privés de leur mobilité, etc. car la liste est longue.

 

Or, l'article 3 de la Charte des Droits fondamentaux de l'Union européenne garantit à toute personne le droit à son intégrité physique.

 

Ne percevez-vous pas que contraindre des citoyens français sous peine de licenciement à une vaccination qui comporte pour eux un risque d'invalidité grave contrevient à leur droit fondamental à l'intégrité physique ?

 

Il est vrai que ces droits ne sont pas absolus. Toutefois, dans un Etat de Droit, les libertés et droits fondamentaux sont la règle, de sorte que les exceptions sont d'interprétation restrictive, conformément à la règle exceptio strictissimae interpretationis est.

 

L'article 52, paragraphe 1, de la Charte des Droits fondamentaux de l'Union européenne soumet la limitation de l'exercice des droits et libertés à plusieurs conditions.

 

L'une d'elle est qu'elle doit être prévue par la loi. C'est la raison pour laquelle il vous appartient, en tant que parlementaire, d'autoriser ou non telle limitation et aussi d'en assumer la responsabilité dans tous ses aspects.

 

Mais ce n'est pas la seule. L'article 52, paragraphe 1, précise bien que la limitation doit respecter le contenu essentiel desdits droits et libertés. Or, quand il s'agit d'aspects aussi fondamentaux que la vie et l'intégrité physique, respecter le contenu essentiel desdits droits et libertés, à mon avis, ne donne pas à un Etat le droit de jouer à la roulette russe avec la vie et avec l'intégrité physique de son peuple.

 

Il y a encore d'autres conditions.

 

La limitation doit être nécessaire (« que si elles sont nécessaires »). Les citoyens qui s'opposent à toute forme d'obligation vaccinale objectent que, si l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine protège efficacement du Covid dans les pays du Maghreb qui y recourent mais aussi dans les pays d'Afrique impaludés qui l'utilisent de toute façon pour protéger la population de la malaria ; si l'artemisinine protège la population du Covid à Madagascar ; si après une flambée de contaminations en Inde, l'État d'Uttar Pradesh l'a jugulée en recourant à l'ivermectine, trois médicaments pour lesquels on ne relève ni mort, ni effets secondaires graves, alors il y a bien des alternatives à la vaccination qui ne la rendent pas nécessaire.

 

La mesure qui limite les droits et libertés doit aussi être efficace (« répondent effectivement à des objectifs d'intérêt général reconnus par l'Union ou au besoin de protection des droits et libertés d'autrui »). Les citoyens qui s'opposent à toute forme d'obligation vaccinale estiment que ce n'est pas le cas. Les vaccinés restent contagieux. C'est pour cette raison, avancée par le Ministère de la santé lui-même que, dans son jugement du 1er avril 2021 dans l'affaire 450956, Benhebri / Ministère des solidarités et de la santé, ECLI:FR:CEORD:2021:450956.20210401, le Conseil d'État a débouté le requérant de sa demande d'être, du fait de sa qualité de personne vaccinée, être exempté notamment de l'obligation de confinement. De plus, on assiste en ce moment -même à une recrudescence spectaculaire de cas d'infection et de maladies de personnes vaccinées dans des pays qui y ont eu massivement recours comme Israël et le Royaume-Uni. Si cela ne démontre pas que ces vaccins sont très loin d'être à la hauteur des espérances que d'aucuns affectent d'y placer !

 

Puisqu'il existe des alternatives médicamenteuses efficaces, que ces vaccins n'ont pas démontré leur efficacité en tant que réponse unique et définitive à l'épidémie, la dernière condition, la proportionnalité (« dans le respect du principe de proportionnalité ») n'est pas non plus remplie.

 

Toutes ces raisons vous démontrent que, en choisissant éventuellement de donner satisfaction à l'actuel Chef de l'État en enregistrant la loi qu'il lui plaît de présenter à l'Assemblée nationale, vous prendriez une responsabilité grave au regard des Droits fondamentaux du peuple français.

 

Le temps qui nous est laissé a deux fonctions jumelles. D'une part, il nous permet de réfléchir pour faire des choix bons et justes. D'autre part, il témoigne contre nous si nous faisons des choix néfastes et injustes lorsque nous devons en rendre compte. Et l'exaspération des peuples en colère, et croyez bien que je le déplore autant que je le redoute, peut les conduire à des extrémités en la matière, Bernard de Launay, Marie-Thérèse de Lamballe ... et même dans un pays comme la Suède aux mœurs si calmes, Axel de Fersen.

 

Espérant que vous ferez le choix sage et juste, je vous prie d'agréer, Monsieur l'élu de la Nation, l'expression de mes salutations distinguées. 

 

 

 

 

 

Madame, Monsieur,

 

Comme de nombreux concitoyens inquiets et soucieux pour leur santé ou le devenir de leurs libertés publiques, vous avez choisi de m'interpeller au sujet du projet de loi crise sanitaire. Je vous remercie pour votre message qui montre que vous vous interrogez sur le devenir de la chose publique et de la démocratie.

 

Ma position est très claire : la liberté doit rester de mise, à savoir celle de se vacciner tout comme celle de ne pas se vacciner. Les citoyens doivent être partie prenante dans leur parcours de soins. Ils ne doivent pas se voir imposer des modes de soin qu'ils réprouvent.

A ce titre, je considère les effets du pass sanitaire comme liberticides, et reprend à mon compte l'ensemble des alertes qu'a pu énoncées la défenseure des droits Claire Hédon (https://www.defenseurdesdroits.fr/fr/communique-de-presse/2021/07/extension-du-passe-sanitaire-les-10-points-dalerte-de-la-defenseure-des)

 

Outre les difficultés auxquelles nous sommes confrontées en tant que parlementaire par un processus législatif aux délais extrêmement rapides, ce projet de loi laisse planer des risques de discrimination parmi les salariés et agents, mais aussi les usagers ou clients de lieux aujourd'hui visés par le Gouvernement. J'ai bien peur qu'à vouloir insister trop lourdement, on n'en vienne à créer des incivilités et de la tension dont nous n'avons aujourd'hui guère besoin. Au contraire, il nous faut retrouver de la sérénité et de la confiance après 18 mois de crise sanitaire douloureuse, dont on ne sait pas aujourd'hui à quel moment nous pourrons en sortir.

 

Dans la nuit de mardi à mercredi, nous avons procédé à l'examen du texte en commission mais aucun de mes amendements n'a trouvé d'écho positif aux yeux de mes collègues de la majorité, qui les ont tous rejeté. Je le regrette sincèrement. Je suis resté jusqu'au bout de la discussion qui s'est terminée à 5h08. Les discussions se sont poursuivis en séance les mercredi, jeudi et vendredi dans l'hémicycle. Le gouvernement nous met dans des situations inacceptables de préparation et de discussion de cette loi.  Nous l'avons d'ailleurs dénoncé. Cela montre le peu de cas qu'il fait de la démocratie parlementaire.

 

Sur le fond ce projet n'est pas acceptable. Il revient quasiment à une obligation vaccinale alors que l'exécutif et le président avaient clairement expliquer que la vaccination ne serait pas obligatoire. Cette vaccination s'entend à partir de septembre aux jeunes de plus de 12 ans alors qu'ils ne sont pas malades du Covid s'ils n'ont pas de comorbidités. Comment dans ce cas pouvoir peser les bénéfices et les risques ?

 

La non vaccination devient une nouvelle clause de licenciement dans certains métiers qui reçoivent du public et pas seulement les soignants. Les employeurs sont sommés sous peine d'amendes de peine de prison de contrôler le pass sanitaire de leurs employés et de leurs clients. Ils doivent ainsi se transformer en fonctionnaire de maintien de l'ordre sans être ni formés, ni assermentés. La divulgation de la vaccination contrevient au secret médical.

 

Les conditions de mise en place de ce pass sanitaire montre que ce sera une véritable usine à gaz et qu'il sera très compliqué à mettre en place au quotidien. Pour ceux qui veulent se vacciner, les délais ne leur permettent pas de l'être rapidement et les obligent à faire des tests PCR réguliers.

Les professionnels, restaurateurs, barmen, exploitants de parc d'activités sont très inquiets. Avec l'établissement du pass sanitaire, beaucoup se plaignent d'une baisse d'activité alors qu'ils sortent de plusieurs mois d'inactivité et comptaient sur la période estivale pour se refaire une santé financière.

 

Le gouvernement ne nous donne aucune assurance quant à l'efficacité réel de ce pass pour maîtriser l'épidémie. Il n'exclut d'ailleurs pas un nouveau confinement. Voilà qui n'est guère rassurant. Il existe d'autres stratégies que celle du gouvernement pour endiguer la maladie mais le gouvernement ne veut même pas en parler.

 

Vues les atteintes aux libertés publiques d'un côté et l'incertitude d'efficacité du pass sanitaire sur la maîtrise de la maladie de l'autre côté, j'ai voté contre cette loi ce vendredi à 5h38. Le résultat a d'ailleurs été beaucoup plus serré qu'attendu puisque seulement 116 députés ont voté pour et 86 contre. Malheureusement c'est encore l'abstention qui l'a emporté. Au final, l'esprit du gouvernement est à revoir. Il est dans un mode de rapport de force et essaye toujours de passer en force que ce soit avec les députés ou avec les citoyens. Le résultat du vote montre que cette loi a peu de légitimité. Je saisirai par ailleurs le Conseil constitutionnel avec plusieurs de mes collègues.

 

Depuis le début de la pandémie, je suis pleinement mobilisé sur les questions de droit relatives aux différents régimes d'état d'urgence sanitaire, et je continuerai de m'opposer à toutes les mesures qui seraient hautement attentatoires aux libertés, sans que nous ayons la certitude que ce soit utile pour la lutte contre la pandémie. Le problème reste là, le gouvernement n'a jamais voulu discuter de la stratégie de lutte contre le Covid. Il prend les décisions et les fait entériner par les parlementaires.

 

Cette méthode n'est pas efficace et ne donne pas la légitimité nécessaire aux mesures qu'il prend.  Je continuerai d'effectuer mon travail de député en ce sens en essayant de vous représenter au mieux.

 

Paul Molac

Député du Morbihan

 

 

 

 

 

 

Merci de votre réponse, Monsieur le Député. Des hommes comme vous sont ce qui reste d'honorable dans la classe politique francaise.

 

Que votre conscience et votre probité soient récompensées car c'est dans des hommes tels que vous que le gros du peuple de France - et de Bretagne - se reconnaît.

 

Veuillez agréer, Monsieur le Député, mes salutations admiratives.

 

 

 

Microchimerisme

 

Patrice 6 mai 2024 à 11:14

L’interaction entre une mère et son bébé durant la grossesse – l’avortement n’y changera rien – va bien au-delà de ce que l’on pouvait imaginer…

Le phénomène du microchimérisme fœtal-maternel* est véritablement fascinant.

Durant la vie fœtale, il existe un échange de cellules entre la mère et le fœtus permettant le passage et la persistance à long terme de cellules fœtales pluripotentes dans le sang et dans différents tissus maternels. Ce phénomène est appelé microchimérisme fœtal.

Pendant les 41 semaines de la grossesse, des cellules du bébé migrent dans le sang de la mère, créant ainsi une connexion physique qui perdure bien après la naissance.

Ces cellules du bébé peuvent circuler dans le corps de la mère, se loger dans ses tissus, ses os, son cerveau et sa peau, et y rester pendant de nombreuses années, voire des décennies. Chaque grossesse laisse ainsi une empreinte unique dans le corps de la mère. Même en cas de fausse couche ou d’avortement, ces cellules fœtales continuent de migrer dans la circulation sanguine de la mère. Des études ont montré que ces cellules fœtales peuvent jouer un rôle bénéfique en cas de blessure ou de maladie chez la mère.

Elles ont la capacité de se diriger vers la zone affectée et de se spécialiser dans la réparation des tissus endommagés. Le bébé aide à réparer la mère, tandis que la mère construit le bébé.

C’est souvent pourquoi parfois certaines maladies disparaissent durant la grossesse. Cette interaction entre la mère et le bébé, même après la naissance, démontre à quel point le corps des mères est conçu pour protéger et soutenir leurs enfants.

L’idée que les cellules d’un bébé puissent résider dans le corps d’une mère des années après l’accouchement est véritablement étonnante et souligne la profonde connexion qui existe entre une mère et son enfant.

*La découverte du microchimérisme remonte à 1893. Un pathologiste allemand, Christian Georg Schmorl, observa les signes d’un transfert de cellules fœtales dans les poumons d’une femme décédée d’hypertension artérielle durant sa grossesse.

Les indulgences

Une traduction en français d'un excellent texte du résistant suédois Sven Erik Nordin, l'auteur du livre "Et le cancer disparut tout simplement" (och cancern bara försvann) où il relate comment un régime cétogène strict a fait mourir de faim les cellules malignes dont il était atteint, sans qu'il ait à se soumettre à la chimiothérapie, à la radiothérapie et à l’émasculation qu'avaient au programme pour lui les oncologues suédois.

 
Les propos de Sven-Erik ne sont pas du tout théologiques. Lisez jusqu'à la fin. C'est juste qu'il compare, avec humour, la médecine dogmatique et infaillible d'aujourd'hui à la religion catholique romaine du XVIème siècle dont Luther avait mis en lumière les compromissions et simonies.
 
 
LES INDULGENCES
 
 
Le 31 octobre 1517, Martin Luther cloua ses 95 thèses sur le portail de l'église du château de Wittenberg.
 
 
Pour faire simple, il s'agissait d'une protestation contre les démences au sein de l'omnipotente église catholique – et rien de moins que contre le commerce des « lettres d'indulgence » par cette église. Selon l'église catholique, on pouvait s'assurer un sort plus doux que le purgatoire grâce à diverses formes de pénitence : jeûne, pèlerinage ou don d'argent pour la construction d'une église.
 
Mais on finit par rationaliser cet instrument en se contentant de vendre des indulgences, qui étaient alors une sorte de quittance de pénitence - sans même avoir besoin en pratique d'en accomplir la moindre.
On peut presque dire que l'on s'achetait le pardon de ses péchés. Bien sûr, il était plus facile aux riches de se payer la rémission – ​​ils pouvaient tranquillement continuer à pécher, sachant qu’ils avaient l’argent nécessaire pour s'acheter encore d'autres indulgences.
 
De cette manière élégante, l'église catholique s'assura des richesses insoupçonnées et, entre autres, amassa des fonds pour le gigantesque « bâtiment de vainegloire », la nouvelle église Saint-Pierre de Rome (construite entre 1506 et 1626). Luther protesta ainsi contre l'église catholique - et les adeptes de la nouvelle orientation ont ensuite été appelés « protestants » - et fondèrent l'église qui, comme par exemple en Suède, est aujourd'hui l'église officielle [OJY: remarque de ma part. Il s'agissait littéralement de témoigner (testis) pour (pro) Dieu devant les hommes. Le sens actuel de "protester" a pu en être dérivé par la suite] . Le changement apporté à l'Église chrétienne est aussi appelé « Réforme » - et il s'agissait bien d'une réforme, d'un « remodelage » de l'Église chrétienne. Lors de l'assemblée ecclésiale d'Uppsala en 1593, la confession luthérienne d'Augsbourg fut adoptée dans notre pays [OJY: la Suède, le pays de Sven-Erik] , et l'on peut dire que l'ère catholique romaine y fut ainsi révolue. Depuis lors, le pape de Rome n’ést plus non plus le chef de l’Église suédoise.
 
La « protestation » de Luther concernait également pour partie la langue. Selon l'église catholique, le latin était la seule langue assez fine pour être utilisée dans la vie religieuse - (et que seuls « les clercs » comprenaient) - même si les prêtres pouvaient aussi adresser leurs prédications dans la langue du pays au « vulgum pecus ». Luther considérait que aussi bien les Saintes Écritures que le sermon devaient être proclamés dans la langue même du peuple, afin que les gens ordinaires puissent les comprendre. Et cela, on peut l'imaginer, constituait une plus grande exigence sur la capacité des prêtres à expliquer les originaux des Ecritures chrétiennes et à prêcher de manière intelligible.
 
Une autre chose à laquelle Luther s'est opposé était le célibat – que les prêtres devaient vivre célibataires et uniquement « être mariés » à l'Église. Lui-même avait d'abord été un moine (et donc également soumis au célibat) - mais après sa protestation contre l'église catholique, il s'était marié (à une nonne !) et avait réussi à en avoir six enfants.
 
Ce que Luther aurait dit aujourd'hui sur le célibat des prêtres aurait été intéressant à entendre depuis la révélation des abus sexuels commis sur des enfants et des religieuses par des milliers de prêtres et d'évêques catholiques - après avoir été gardés secrets pendant de nombreuses années par le haut clergé au sein de l'église catholique.
 
La diffusion si rapide des enseignements "hérétiques" de Luther fut due en grande partie à la technique de l'imprimerie développée par Johan Gutenberg, qui rendait possible que les écrits soient rapidement produits en grande quantité et distribués en grandes éditions - et ne devaient plus, comme auparavant, être copiés à la main l'un après l'autre.
 
On pourrait aussi dire que la Réforme devint petit à petit en partie un « mouvement de laïcs ». Que le message chrétien puisse être prêché dans la langue  même des gens et que les prêtres n'aient plus le monopole de la diffusion du savoir était quelque chose de nouveau - et de révoltant pour l'église catholique et ses prêtres, qui auraient préféré que cela reste "comme avant". "... Evidemment, le pouvoir du clergé était miné précisément par le fait que les laïcs pouvaient dorénavant s'immiscer dans la discussion de sujets sacrés ! Lorsque la Bible de Gustav Vasa fut publiée en suédois en 1541, ce fut naturellement une sorte de percée pour la Réforme dans notre pays (et un moyen pour Gustav Vasa de reprendre le pouvoir de la papauté - avec des avantages financiers considérables pour lui).
 
Mais qu’est-ce que cela a à voir avec notre époque ?
 
Eh bien, je considère que nos fonds (le Fonds du cancer, le Fonds du cancer des enfants, le Fonds du cerveau, etc.) se livrent à une sorte de commerce des indulgences. Lorsque nous donnons de l'argent à ces fonds, nous faisons « une bonne action » et nous nous sentons, sinon absouts du péché, du moins comme des personnes un peu meilleures, car nous pensons avoir contribué à soutenir la recherche qui résoudra les « inconnues » autour de pathologies comme le cancer, la maladie d'Alzheimer, etc.
 
« L'Église » (l'établissement médical et ses chercheurs) s'assure de cette façon des rentrées considérables d'argent. Mais si l'on examine de près les activités des fonds, on constate que l'argent est en grande partie destiné à de la recherche qui n'apporte pas d'améliorations décisives ni pour les patients atteints de cancer ni pour ceux atteints de la maladie d'Alzheimer - quoiqu'elle occupe beaucoup de chercheurs. Cela semble être principalement dû au fait que la recherche se concentre unilatéralement sur des solutions pharmaceutiques – pour trouver des préparations brevetables qui « guériront » ces maladies (et rapporteront des milliards à Big Pharma). Et on semble ignorer largement l'option d'investir dans la recherche sur ce qui est complètement élémentaire : notre alimentation, notre mode de vie et autres aspects environnementaux.
 
On pressent également en arrière-plan les agissements des grandes sociétés pharmaceutiques. Elles gagnent plusieurs milliards chaque année grâce auxdites maladies – ce qui ne les incitent guère, dans une perspective financière, à trouver une « solution ». Se concentrer unilatéralement sur les modèles d’explication génétiques est également une manière de préserver le statu quo – car nos gènes sont presque le seul facteur causal pouvant être exclu. Notre génome est essentiellement le même depuis plusieurs milliers d’années, c’est-à-dire bien avant que n'explosent formellement des pathologies telles que le cancer, le diabète et la maladie d’Alzheimer.
 
En effet, à certains égards, les fonds mentionnés semblent également être ceux qui ressemblent le plus à n'importe quelle société cotée en bourse à but lucratif - avec des salaires élevés pour les chefs, des structures de fonctionnement étendues et beaucoup d'activités publicitaires.
 
Mais une « révolution » est désormais en marche ! Des laïcs, qui n'ont pas reçu de formation médicale, mais qui savent lire et sont dotés du bon sens, ont commencé à examiner tout cela. Et tout comme la technique de de l’imprimerie à l’époque de Luther contribua efficacement à la diffusion de ses thèses, Internet a aujourd’hui donné aux « gens ordinaires » la possibilité d’acquérir des connaissances ainsi que de partager ces connaissances et leurs propres expériences entre eux. Des réseaux se forment et d'importantes connaissances se diffusent dans le monde entier, et malgré la puissante opposition de « l'Église », les « prêtres » et les « évêques » (médecins et professeurs) ont désormais le "plaisir" de rencontrer des patients plus instruits qu'eux ! Les grandes sociétés pharmaceutiques multinationales tremblent sur leurs fondations et recourent à des mesures de plus en plus désespérées pour empêcher la « réforme » de se propager.
 
Les successeurs de Luther aujourd'hui (dans le domaine médical) en Suède sont Erik Enby, Annika Dahlqvist, Lars Bern, Ralf Sundberg, Yngve Gustafsson, Nisse Simonsson, Uffe Ravnskov et d'autres. Ma modestie m'interdit de compter ma propre personne insignifiante dans l'énumération. Et dans le monde, il y a des milliers de « réformateurs »…
 
L'église catholique voulait jadis continuer à parler en latin, afin que personne ne puisse voir au travers de son opacité - et maintenir son pouvoir sur le peuple en lui faisant peur du purgatoire et de l'enfer et en lui faisant ainsi acheter des indulgences à prix d'argent élevé. Les médecins d'aujourd'hui aiment utiliser un « langage crypté » de termes médicaux presque incompréhensibles (en latin ! [OJY: et en grec ancien !]), qui leur permet de nous faire croire en leurs connaissances. Parfois, leur langage codé semble plutôt être un moyen de cacher une ignorance embarrassante.
 
Pour finir, je veux juste ajouter que les métaphores sont des outils difficiles à manipuler. Elles présupposent une certaine imagination et connaissance de la part du lecteur – et peuvent être surinterprétés. Je dois bien sûr également souligner que les personnes qui travaillent au sein du système de santé établi sont évidemment dans la plupart des cas des professionnels exigeants et engagés, qui veulent le bien de tous - et qui s'échinent souvent dans des conditions de travail presque impossibles. Cela s'applique probablement aussi, dans une certaine mesure, à ceux qui collectent de l'argent pour les fonds que j'ai mentionnés au début, ainsi qu'à ceux qui travaillent dans l'industrie pharmaceutique et la recherche médicale.
 
Le problème est seulement qu’ils sont largement roulés par des forces puissantes, dont les intérêts ont une orientation complètement différente. La difficulté, c'est aussi que, au moins les professionnels de la santé en hospitalier sont tellement influencés par leur formation et par les contrevérités et les mythes dont nous sommes constamment abreuvés dans les médias et via des autorités ignares qu’ils semblent très résistants aux simples faits démontrables. C'est pourquoi la « vieille église » peut poursuivre ses activités sans entrave – au grand dam de la santé publique, mais au profit des réseaux criminels que constituent les sociétés pharmaceutiques.
 
Je voudrais également ajouter que, bien entendu, sous l'égide des églises - tant catholiques que protestantes - ainsi que dans diverses églises libres et autres communautés religieuses, se déroule un travail important, rempli d'amour et de sacrifices que je ne veux pas critiquer.
 
En conclusion : tout comme la technique de l'imprimerie fut à l'époque de Luther capable de diffuser ses idées, Internet va aujourd'hui faire tomber la vieille église - et ouvrir la voie à une « médecine populaire » digne de ce nom. Seuls des services médicaux d’urgence et des compétences spécialisées dans certains domaines subsisteront. Et une connaissance accrue des aspects nutritionnels et environnementaux réduira le besoin de soins médicaux en général. Il est possible que l'effondrement total du système de santé officiel, qui sinon semble imminent, puisse ainsi être évité. »
 

 

 
 
 
 


Ämne : Avlat

 
 

"Den 31 oktober 1517 spikade Martin Luther upp sina 95 teser på porten till slottskyrkan i Wittenberg.

Förenklat var det en protest mot galenskaperna inom den maktfullkomliga katolska kyrkan – och inte minst mot kyrkans handel med "avlatsbrev". Man kunde enligt katolska kyrkan klara sig lindrigare undan skärselden genom olika former av botgöring – fasta, vallfärder eller skänkande av pengar till ett kyrkobygge.

Men man rationaliserade slutligen detta instrument och sålde just avlatsbrev, vilka då var en sorts kvitton på botgörelse – utan att man i praktiken behövde genomföra någon sådan. Man kan närmast säga, att man köpte sig syndernas förlåtelse. Självklart hade de rika lättare att köpa sig fria – och kunde lugnt synda vidare, i medvetande om att de hade pengar för att köpa fler avlatsbrev.

På detta eleganta sätt skaffade sig katolska kyrkan oanade rikedomar – och fick bland annat ihop pengar till det gigantiska "skrytbygget" nya Peterskyrkan i Rom (byggdes 1506 - 1626). Luther protesterade alltså mot katolska kyrkan – och anhängarna av den nya inriktningen kom sedan att kallas "protestanter" - och bilda den kyrka som t.ex. i Sverige i dag är den officiella. Förändringen av den kristna kyrkan kallas också "reformationen" - och det var verkligen fråga om en reformation, en "omformning" av den kristna kyrkan. Vid Uppsala kyrkomöte 1593 antogs i vårt land den lutherska augsburgska trosbekännelsen, och den katolska tiden kan därmed sägas vara förbi. Därefter var inte heller påven i Rom längre den svenska kyrkans överhuvud.

En del av Luthers "protest" gällde också språket. Enligt den katolska kyrkan var latinet det enda språk som var fint nog att användas i det religiösa livet – (och som bara "de lärde" förstod) - även om prästerna också kunde predika på landets språk för "allmogen". Luther ansåg att både de heliga skrifterna och predikan skulle finnas på folkets eget språk – så att vanligt folk kunde förstå. Och detta kan man ana ställde större krav på prästernas förmåga att förklara de kristna urkunderna och predika begripligt.

Ytterligare något Luther protesterade mot var celibatet – att prästerna skulle leva ogifta och bara "vara gifta med" kyrkan. Själv var han ju från början munk (och därmed också underkastad celibatet) – men efter sin protest mot katolska kyrkan gifte han sig (med en nunna!) och hann skaffa sex barn med henne.

Vad Luther i dag skulle ha haft att säga om prästernas celibat hade varit intressant att höra, sedan avslöjanden om tusentals katolska prästers och biskopars sexuella övergrepp på både barn och nunnor uppdagats – efter att under många år hemlighållits av de höga prelaterna inom kyrkan.

Att Luthers kätterska lära så snabbt fick spridning berodde i hög grad på den av Johan Gutenberg utvecklade boktryckarkonsten, som gjorde att skrifter snabbt kunde mångfaldigas och spridas i stora upplagor – och inte som tidigare måste skrivas för hand, en i taget.

Man skulle också kunna säga, att reformationen så småningom delvis blev en "lekmannarörelse". Att det kristna budskapet kunde predikas på människors eget språk, och att inte bara prästerna skulle ha monopol på att föra ut kunskapen var något nytt - och upprörande för katolska kyrkan och dess präster, som helst hade velat ha det "som förut"... Prästerskapets makt undergrävdes förstås just av detta att lekmän kunde ge sig in i diskussionen om heliga ting! När Gustav Vasas bibel kom på svenska år 1541 var detta självklart ett sorts genombrott för reformationen i vårt land (och ett sätt för Gustav Vasa att ta över makten från påvedömet – med avsevärda ekonomiska fördelar för honom).

 Men vad har då detta med vår tid att göra?

Jo, jag anser, att våra fonder (Cancerfonden, Barncancerfonden, Hjärnfonden etc) ägnar sig åt någon sorts avlatshandel. När vi skänker pengar till dessa fonder gör vi "en god gärning" och känner oss – om inte befriade från synd, så i alla fall som litet bättre människor, därför att vi tror att vi bidragit till att stödja forskning som kommer att lösa "gåtorna" runt sjukdomar som cancer, Alzheimers m.fl.

"Kyrkan" (det medicinska etablissemanget och dess forskare) ser på detta sätt till att få in mängder av pengar. Men om man skärskådar fondernas verksamhet, så finner man, att pengarna i stor utsträckning går till forskning som inte leder till några avgörande förbättringar vare sig för patienter med cancer eller Alzheimers sjukdom – men sysselsätter mängder av forskare. Detta tycks huvudsakligen bero på, att forskningen ensidigt inriktar sig på att hitta farmaceutiska lösningar – att hitta patenterbara preparat, som skall "bota" dessa sjukdomar (och inbringa Big Pharma miljardinkomster). Och man tycks i stort sett bortse från att satsa på forskning om det fullkomligt elementära – vår kost, livsstil och övriga miljöaspekter.

Man anar också de stora läkemedelsbolagens agerande i bakgrunden. De tjänar varje år många miljarder på nämnda sjukdomar – och de ekonomiska incitamenten för att hitta en "lösning" finns helt enkelt inte där. Att ganska ensidigt inrikta sig på genetiska förklaringsmodeller är också ett sätt att bevara status quo – eftersom just våra gener nästan är den enda orsaksfaktor man kan utesluta. Vårt genom har i allt väsentligt varit detsamma sedan åtskilliga tusen år, alltså långt innan förekomsten av sjukdomar som cancer, diabetes och Alzheimers formligen exploderat.

I vissa avseenden förefaller faktiskt också de nämnda fonderna mest likna vilka vinstdrivande, börsnoterade bolag som helst – med höga chefslöner, en omfattande administration och reklamverksamhet.

Men en "revolution" är nu på väg! Lekmän, som inte är medicinskt utbildade, men läskunniga och utrustade med normalt sunt förnuft, har börjat genomskåda detta. Och precis som boktryckarkonsten på Luthers tid effektivt bidrog till att sprida hans teser, så har dagens Internet givit "vanligt folk" möjligheter att skaffa sig kunskaper och att dela dessa kunskaper och egna erfarenheter med varandra. Det bildas nätverk och sprids viktig kunskap världen över, och trots "kyrkans" kraftfulla motstånd, så får nu "prästerna" och "biskoparna" (läkarna och professorerna) fina sig i att möta patienter som är mer pålästa än de själva! De stora multinationella läkemedelsföretagen skakar i sina grundvalar och tar till alltmer desperata åtgärder för att förhindra att "reformationen" sprids.

Vi kan sägas ha en protestantisk rörelse av megaformat på gång – med mängder av efterföljare till Luther. Och "kyrkan" har problem med sitt budskap. Snart vet alla att dess "godkända mediciner" är åtminstone den tredje vanligaste dödsorsaken i Västvärlden – samtidigt som alternativa metoder av olika slag är både effektiva, billiga och inte förorsakar några dödsfall, men förbjuds därför att de inte är "godkända läkemedel" och därmed inte inbringar läkemedelsföretagen några inkomster.

Efterföljare till Luther i dag (på det medicnska området) är i Sverige sådana som Erik Enby, Annika Dahlqvist, Lars Bern, Ralf Sundberg, Yngve Gustafsson, Nisse simonsson, Uffe Ravnskov m.fl. Min blygsamhet förbjuder mig att räkna in min egen obetydliga person i samlingen. Och världen över finns det tusentals "reformatorer"...

Men eftersom "kyrkan" i form av det medicinska etablissemanget och den ofantligt resursstarka läkemedelsindustrin inte vill gå miste om sina miljardinkomster på sjuka människor, så använder de alla metoder (inkl. forskningsfusk och bedrägeri) för att förhindra att Luthers efterföljare skall sprida sitt budskap. En frisk befolkning är förstås deras stora skräck.

Katolska kyrkan ville en gång fortsätta att prata på latin, så att ingen kunde genomskåda dem – och behålla makten över folket genom att skrämma dem för skärselden och helvetet och därmed också få dem att köpa avlatsbrev för dyra pengar. Dagens läkare använder gärna ett för oss vanliga människor närmast obegripligt "fikonspråk" av medicinska facktermer (på latin!), som gör att de kan få oss att tro på deras kunskaper. Ibland tycks deras språk i stället vara ett sätt att dölja en generande okunskap.

Till sist vill jag bara tillägga, att metaforer är svårhanterliga verktyg. De förutsätter viss fantasi och kunskap hos läsaren – och kan övertolkas. Jag måste förstås också betona, att de enskilda människor som arbetar inom den etablerade sjukvården självklart i de flesta fall är ambitiösa och engagerade aktörer, som vill alla människor väl – och som ofta sliter under närmast omöjliga arbetsförhållanden. Detsamma gäller säkert också i någon mån dem som drar in pengar till de fonder jag inledningsvis nämnde, samt de som arbetar inom läkemedelsindustrin och den medicinska forskningen.

Problemet är bara att de i hög grad är lurade av starka krafter, vars intressen har en helt annan inriktning. Det svåra är också, att åtminstone de professionella inom vården är så påverkade av sin utbildning och av de osanningar och myter som vi hela tiden matas med i media och via okunniga myndigheter att de tycks mycket motståndskraftiga mot enkla påvisbara fakta. Därför kan den "gamla kyrkan" obehindrat fortsätta sin verksamhet – till stor skada för folkhälsan, men till gagn för de kriminella nätverk läkemedelsföretagen utgör.

Jag vill gärna också tillägga, att det naturligtvis i kyrkornas regi – både den katolska och den protestantiska – liksom hos olika frikyrkor och andra religiösa samfund sker mycket kärleksfullt, uppoffrande och viktigt arbete, som jag inte vill kritisera.

Slutligen: Precis som boktryckarkonsten på Luthers tid kunde sprida hans idéer, så kommer Internet i dag att få den gamla kyrkan på fall – och bana väg för en "folkmedicin" värd namnet. Endast viss akutsjukvård och specialistkompetens på några områden kommer att finnas kvar. Och ökade kunskaper om kost och miljöaspekter kommer att minska behovet av vård generellt. Möjligen kan den officiella sjukvårdens totala kollaps – som annars verkar mycket nära - på så sätt undvikas."

 
Synpunkten om den officiella sjukvårdens totala kollaps tycks ha varit profetisk?
SE